Non, il n’empêche pas de bronzer et ne blanchit pas la peau. Au contraire ? il n’y a qu’avec un SPF élevé qu’on obtient un joli hâle. Voici toutes les bonnes raisons de se mettre au 30, au moins.
Ça permet un hâle progressif
Même avec un très haut indice (le SPF 50 n’apporte qu’1 % de protection en plus que le 30), aucun solaire ne bloque totalement les rayons. En se protégeant, on sera hâlée trois jours plus tard, mais on évitera les traumatismes cutanés. Quoi qu’on fasse, le bronzage n’apparaît de toute façon pas avant 48 heures. Et une exposition quotidienne de 30 minutes suffit à l’activer et à l’entretenir. Au-delà ? On brûle son capital solaire et on vieillit beaucoup plus vite.
C’est un minimum pour être protégée
Pour tester l’indice de protection des crèmes, les labos appliquent 2 mg de produit par cm² de peau… Or, en réalité, on en met deux à trois fois moins. À l’usage, un SPF 30 devient alors potentiellement un SPF 10 ou 15… Hors de question, donc, de descendre en dessous. Et on garde en tête la quantité idéale : un gros creux de main de crème pour l’ensemble du corps… À ce compte-là, vive les grands formats.
Ça évite le vieillissement
Qu’on ait la peau claire ou mate, on ne brûle pas avec un SPF d’au moins 30. Mais surtout, on se préserve des rides et des taches brunes, avant tout causées, elles, par les UVA. Dans un produit à indice anti-UVB de 30, la protection contre les UVA est, selon la législation, d’au moins 10. De quoi faire barrage aux indésirables… A fortiori si la crème est tout-terrain, grâce à une formule conçue pour résister à l’eau et à la sudation.
Et pas d’effet masque !
Les progrès dans les formulations ont supprimé tous les inconvénients des crèmes. On ne blanchit plus (grâce à la technologie des nanoparticules), on ne brille plus (grâce à des actifs sébo-régulateurs, comme le zinc, pour les peaux à imperfections) et on ne colle plus (grâce aux polymères qui offrent un toucher sec). Mieux, on peut même avoir l’air bronzé avec les formules teintées, en tube ou en compact.
